Auguste MORLANNE voit le jour le jeudi 13 mars 1884 à Pomarez (Lacoste).
Il est le fils légitime de Pierre MORLANNE, tourneur, âgé de 24 ans et de Marie LAGARDE, âgée de 18 ans.
Auguste sera laboureur.
Il s'unit le jeudi 27 novembre 1919 à Saugnac-et-Cambran avec Maria LUX (1897-), la fille de Raymond LUX et de Catherine BERDOYES.
Ce couple aura cinq enfants :
- André né en 1919.
- Henriette née en 1922.
- Georges né en 1924.
- Odette née en 1925.
- Gérard né en 1928.
Auguste MORLANNE est décédé le lundi 17 avril 1972, à l'âge de 88 ans, à Dax.
Classe : 1904
Numéro Matricule du recrutement : 1756
Signalement :
Cheveux : Châtains
Sourcils : Châtains
Yeux : Châtains
Front : Ordinaire
Nez : Moyen
Bouche : Moyenne
Menton : Rond
Visage : Ovale
Taille : 1 mètre 56
Degré d’Instruction Générale : -
Détail des Services :
Incorporé à compter du : 4 août 1914
Campagne contre l’Allemagne du 4 août 1914 au 20 mars 1919
Soldat de 2ème classe au 7ème Régiment d’Infanterie Coloniale à Rochefort.
1914 Belgique : Rossignol (22 août), Saint-Vincent (24 août) Bataille de la Marne : Ecriennes, Vauclerc (6-7 sept.)
1915 Champagne : Ferme de Beauséjour (fév.), Ville-sur-Tourbe (mai), puis le Cratère, cote 191, La Briqueterie (sept.)
29 mai 1915 : des soldats du 7e RIC, ont été fusillés à Maffrécourt (Marne) pour désertion devant l’ennemi ; ils ont été réhabilités en juin 1927
1916 Bataille de la Somme : Ebesquincourt , Dompierre , Assevilliers , Rancourt , Belloy-en-Santerre , Villiers Carbonel , Horgny (juil.-sept.)
1917 Entre Somme et Oise (mars), l'Ailette (avril), Mont des Singes (mai), Hurtebise (juil.), plateau des Casemates
1918 Combats sous Reims (mai-juil.), Bazancourt (oct.), Retourne, Aisne (oct.), Herpy
Blessé le 13 décembre 1915 au bras droit par éclat d’obus
Intoxiqué au gaz le 17 août 1918
Citation à l’ordre du Régiment le 3 février 1917 (n°3) : Sur le front depuis le début des hostilités, a toujours fait (preuve) du plus grand courage. Blessé le 13 décembre 1915 en accomplissant bravement son devoir.
Citation à l’ordre du Régiment le 1er septembre 1917 (n°29) : Fusilier mitrailleur d’un rare courage. Pendant les affaires du 28 et 29 juillet 1917, a tenu un poste particulièrement dangereux gardant le même entrain, la même belle humeur sous les plus violents bombardements. Sur le front depuis le début des hostilités.
Décorations : Croix de Guerre avec étoile de bronze.
Médaille Militaire
Liste de pièces jointes