105 DOUAT Augustin

Augustin DOUAT voit le jour le vendredi 27 août 1880 à Narrosse (Bernachon).
Il est le fils de Jean DOUAT, âgé de 36 ans et de Catherine LOUMÉ, âgée de 29 ans. A sa naissance, il a pour frères et soeurs : Pascal (né en 1872), Jean (né en 1874), Émilie (née en 1878).
Augustin sera cultivateur.
Il est le frère des soldats DOUAT Jean (106) et DOUAT Pascal (107).
 
Habitait Saugnac et Cambran lors du recensement de 1911
 
Classe : 1900
 
Numéro Matricule du recrutement : 1673
 
Signalement :
Cheveux :         Châtain
Sourcils :          Châtain
Yeux :              Gris
Front :              Couvert
Nez :                Moyen
Bouche :           Moyenne
Menton :           Rond
Visage :            Ovale
Taille :              1 mètre 68
Degré d’Instruction Générale : -
 
Détail des Services :
 
Incorporé à compter du : 11 août 1914
Campagne contre l’Allemagne du 11 août 1914 au 7 mars 1919
 
 
Soldat de 1ère classe au 144ème Régiment d’Infanterie de Bayonne.
1914 Lorraine : Vaucouleurs, Saulxures, Royaumeix puis Charleroi : Leers, Biercée (fin août), Boussignies, Solre-le-Château, Avesnelles, Marly, Chavonne,
Bataille de la Marne (5 au 13 sept.) : Villiers-Saint-Georges, Montceaux-lès-Provins, Celle-sous-Montmirail, Château-Thierry puis  Courladon, Craonne, la Ville-aux-Bois, Craonnelle, Plateau de Vauclair. Aisne (jusque déc.) : Troyon, ravin de Chivy, Vendresse
1915 Aisne (janv.15.-juin 1916) : Chemin des Dames, Troyon, ravin de Chivy, Vendresse
1916 Bataille de Verdun (mai) : Vaux, fort de Tavannes puis Argonne (juin-sept.) : La Harazée, Saint-Hubert
1917 Somme (déc.-fév.) : Berny-en-Santerre

Passé au 118ème Régiment d’Infanterie de Quimper le 9 février 1917
1917 Chemin des Dames (avril-mai) : Laffaux, les Trous, Ailles, Hurtebise puis Aisne (sept.-nov.) : Hartennes, Chassemy, Chacrise
Fin mai, des mutineries se déclenchent au sein du régiment
 
Détaché aux usines de la Flanquette à Vivier le 30 novembre 1917
 
 
Réintégré au 118ème Régiment d’Infanterie le 19 novembre 1918
 
 
 
Blessé le 25 août 1916 à Fleury par éclat d’obus au bras droit.
 
 
Citation à l’ordre de la 136ème Brigade le 10 avril 1915 (n°7) : Excellent soldat, a occupé comme volontaire les postes les plus dangereux. Est resté en observation à un créneau un jour entier sans vouloir être relevé.