Pierre BELLEGARDE dit Henri voit le jour le lundi 15 décembre 1884 à Dax.
Il est le fils de Pierre BELLEGARDE, cultivateur et de Jeanne LACAMEZURE, ménagère. A sa naissance, il a un frère Pierre dit Paul (né en 1871).
Pierre sera lui-même cultivateur.
Il s'unit le lundi 19 février 1912 à Saugnac-et-Cambran avec Marie PRADET dite Alice (1891-1968), ménagère, la fille légitime de François PRADET et de Marguerite DARRIGADE.
Ce couple aura trois enfants :
- Gabrielle née en 1912.
- Maria née en 1915.
- Lucia née en 1919.
Pierre BELLEGARDE dit Henri est décédé le mercredi 28 décembre 1955, à l'âge de 71 ans, à Saugnac-et-Cambran (Bouheben).
Son beau-frère est le soldat CESTAC Lucien (67).
Le beau-père de sa fille Lucia est le soldat DUSSARRAT Jean Baptiste (127).
Classe : 1904
Numéro Matricule au bureau de recrutement de Bayonne : 1710
Signalement :
Cheveux : Châtain clair
Sourcils : Châtain clair
Yeux : Châtain clair
Front : Couvert
Nez : Ordinaire
Bouche : Moyenne
Menton : Rond
Visage : Ovale
Taille : 1 mètre 68
Degré d’Instruction Générale :
Détail des Services :
Incorporé à compter du : 4 août 1914
Campagne contre l’Allemagne du
Soldat de 2ème classe au 7ème Régiment d’Infanterie Coloniale de Rochefort.
1914 Belgique : Rossignol (22 août), Saint-Vincent (24 août) Bataille de la Marne : Ecriennes, Vauclerc (6-7 sept.)
1915 Champagne : Ferme de Beauséjour (fév.), Ville-sur-Tourbe (mai), puis le Cratère, cote 191, La Briqueterie (sept.)
29 mai 1915 : des soldats du 7e RIC, ont été fusillés à Maffrécourt (Marne) pour désertion devant l’ennemi ; ils ont été réhabilités en juin 1927
1916 Bataille de la Somme : Ebesquincourt , Dompierre , Assevilliers , Rancourt , Belloy-en-Santerre , Villiers Carbonel , Horgny (juil.-sept.)
1917 Entre Somme et Oise (mars), l'Ailette (avril), Mont des Singes (mai), Hurtebise (juil.), plateau des Casemates
1918 Combats sous Reims (mai-juil.), Bazancourt (oct.), Retourne, Aisne (oct.), Herpy
Citation à l’ordre du Régiment du 29 mai 1917 (n° 368) : Soldat Ordonnance du Chef de Bataillon, à l’attaque du 9 mai 1917, son commandant venant d’être blessé, s’est porté aussitôt en avant pour faire le coup de feu avec ses camarades.
Liste de pièces jointes