Après des années consacrées à la chanson et à la musique, cette artiste est venue en autodidacte à l’aquarelle, dans un premier temps, et au travail sur papier en général (encre de chine, collage, mixe de gouache et de pastel gras, papier mâché…). Depuis son compagnonnage avec le lambris et autres bois récupérés, elle a complètement changé d’univers. Mais elle n’a pas réussi à se cacher derrière son support. La préoccupation qui affleure est toujours la même : la vulnérabilité des êtres confrontés à la différence, la peur ou la violence.